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Bonjour,
De nombreux dispositifs génèrent des faisceaux d'électrons. Envoyer au loin des électrons doit nécessairement s'accompagner d'une augmentation de charge positive proportionnelle. Alors qu'en est-il? Comment obtenir un fonctionnement continu et que deviennent les charges positives
Si je pose la question c'est qu'à la différence d'un circuit fermé, il y a des électrons qui quittent le système définitivement.

Salut,
"Les électrons quittent le système définitivement" : as-tu des exemples ?
Parce que généralement, les électrons sont collectés par une masse quelconque, non ?

Bonjour,
Comme exemple il y a les tubes cathodiques, tous les canons a électrons qu'on trouve les ampoules radios, dans les microscope électroniques , dans un domaine un peu différent les propulseurs ioniques ou les accéleérateurs de particules chargées. Bref partout ou les électrons sont éjectés a grande vitesse (et en généralisant partout on des particules chargées sont accélérées et éjectées.)

Pour les tubes cathodiques (anciens écrans de télé, je précise pour les plus jeunes ), les électrons arrivent sur le verre et s'y accumulent un peu. D'ailleurs en approchant la main, on sent bien le champ électrique (poils qui se hérissent, picotements, effets d'adhérence électrostatique…). Mais pas à l'infini, les électrons rejoignent la masse de la télé, et retournent à la terre.

(Je me souviens de quelqu'un qui avait dit la chose suivante, un jour sur le forum, il me semble… Que les disjoncteurs différentiels ne doivent pas déclencher trop bas en intensité, pour des circuits sur lesquels on branche beaucoup de ces téléviseurs, comme sur les rayons d'un magasin de télévision, à l'époque. Car la perte d'électron par la terre est assez forte. Un disjoncteur trop sensible pourrait sauter en pensant (si on peut dire qu'un disjoncteur "pense" ! ) qu'il s'agit d'un court-circuit.)