Interférences et mètre étalon
Publié : 20/02/2014, 21:45
Bonjour,
Longtemps la définition du mètre n'a plus reposé sur un étalon matériel mais sur une mesure d'interférences en lumière monochromatique. Je ne comprend pas comment un phénomène physique immatériel et ne présentant pas de netteté
peut servir d'étalon? En effet les franges d'interférences sont une alternance de dégradés lumineux et n'ont rien d'une ombre parfaitement nette. Donc dans le meilleur des cas un dispositif permet de mesurer des maximas ou minimas.
Une autre méthode est employée aussi: les phénomènes de battements entre deux sources distinctes de fréquence égale (si j'ai bien compris) et là encore tout est immatériel et rien n'est net.
La nouvelle définition du mètre décrit la longueur parcourue par la lumière pendant une fraction seconde: là c'est encore plus difficile de comprendre parce qu'aucune des valeurs est entière:
Longtemps la définition du mètre n'a plus reposé sur un étalon matériel mais sur une mesure d'interférences en lumière monochromatique. Je ne comprend pas comment un phénomène physique immatériel et ne présentant pas de netteté

Une autre méthode est employée aussi: les phénomènes de battements entre deux sources distinctes de fréquence égale (si j'ai bien compris) et là encore tout est immatériel et rien n'est net.

La nouvelle définition du mètre décrit la longueur parcourue par la lumière pendant une fraction seconde: là c'est encore plus difficile de comprendre parce qu'aucune des valeurs est entière:
La 17e CGPM de 1983 redéfinit la vitesse de la lumière dans le vide absolu à 299 792 458 m/s, ce qui a pour effet de réviser la valeur du mètre comme étant la distance parcourue par la lumière dans le vide en 1/299 792 458 seconde